New York Trilogie T02 : L'Immeuble [PDF] Collection
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Détails sur le produit
- Rang parmi les ventes : #112319 dans eBooks
- Publié le: 2017-02-01
- Sorti le: 2017-02-01
- Format: Ebook Kindle
Commentaires clients
Commentaires clients les plus utiles
2 internautes sur 2 ont trouvé ce commentaire utile.Promenades dans la ville
Par Ouhman
Ce deuxième volume de la trilogie que Will Eisner consacre à New York est constitué pour moitié d'une grande histoire, qui donne son titre au livre, suivie d'anecdotes liées à la ville, dans le ton du Tome 1. Ici aussi, les planches datent des années 80 et les dessins sont très expressifs. En bonus, à la fin de l'ouvrage, nous avons droit à quelques premiers jets écartés par le dessinateur, le tout accompagné des raisons de leur éviction.Un très bon volume, peut-être légèrement en deçà du précédent pour ce qui est de l'intensité dramatique de la deuxième partie. Je n'aime pas non plus les commentaires sociologiques ajoutés par l'auteur à certaines de ses histoires, comme une voix off pas toujours utile et plutôt agaçante. Cela étant dit, l'ensemble vaut la peine d'être lu, ne serait-ce que pour l'atmosphère unique que savent dégager les dessins pétris d'humanité de Will Eisner.
0 internautes sur 0 ont trouvé ce commentaire utile.L’âme des vieux murs
Par Blue Boy
Ce deuxième tome est en quelque sorte une « étude archéologique » de New York, comme le dit lui-même Eisner. Dans la première partie, l’auteur s’intéresse à un vieil immeuble ressemblant étrangement au célèbre Flatiron Building, qui a été détruit pour laisser place à un building de verre sans âme, imaginant les gens qui ont pu laisser un peu ou beaucoup de leur histoire à ses pieds. Ainsi, l’auteur nous conte quatre petites fables, quatre histoires de fantômes urbains liés d’une façon ou d’une autre à cet immeuble, des inconnus aux destins aussi tragiques que différents.La deuxième partie est consacrée aux éléments indissociables de la vie d’une mégapole, principalement l’espace et le temps qui contribuent à transformer de manière inéluctable l’espèce urbaine. Plusieurs saynètes viennent illustrer ce phénomène, révélant tout l’humour et la finesse d’observation de son auteur.New Yorkais dans l’âme, Will Eisner a promené dans Big Apple son carnet de croquis pour nous faire partager, grâce à son talent d’observateur secondé par un coup de crayon vif et précis, des anecdotes sur la vie de ses habitants, sans cesse confrontés à la course effrénée du temps, aux contraintes de l’espace, et aux menaces de déchéance sociale, autant de facteurs beaucoup plus prégnants en milieu urbain. C’est drôle, souvent grinçant voire tragi-comique. L’auteur se moque gentiment de ces pauvres citadins empêtrés dans leur recherche illusoire d’une vie meilleure, et dénonce indirectement l’asservissement d’un système fondé sur les inégalités tels que celui qui domine à New York comme dans le reste des USA. Certaines scènes m’ont bien fait marrer, notamment celle avec ce provincial fraichement débarqué qui finira contre son gré par marcher comme tout le monde, d’un pas rapide et tête en avant, emporté par le flux incessant des citadins pressés. Le découpage est toujours très efficace, on a parfois l’impression de regarder un dessin animé, et la mise en page est vraiment étonnante, au point de rompre avec les codes de la bédé les plus courants. En cela, Eisner est un peu un maître du temps et de l’espace, et cela n’est sans doute pas par hasard s’il a aujourd’hui atteint ce niveau de reconnaissance avec un prix qui porte son nom.
0 internautes sur 0 ont trouvé ce commentaire utile.Waw la claque
Par Miguel Martin Perez
[...]Hello les amis,Aujourd’hui j’ai l’esprit léger et le pas guilleret, un peu comme la floraison des cerisiers au Japon, car j’ai déterré pour vous un auteur figure de proue d’un renouveau bd aux US, j’ai nommé Will Eisner (ouais, rien que ça !).Ne prenant que mon courage à deux mains je suis parti tirer les vers du nez de mon libraire, ce qui n’était pas une mince affaire vu son rhume, et j’ai déniché un « pas si vieux que cela » (1987) bouquin portant le nom de « Building ».Pour la petite anecdote, Will Eisner est un gars genre bien mort (1917-2005) mais qui est devenu avec les années un pilier de l’art visuel de la BD américaine grâce notamment à une inventivité graphique en avance sur son temps, un style narratif unique et une vision des choses différente des us et coutumes de l’époque ; du coup il a été une inspiration pour pas mal d’auteurs underground et estampillé « bête de guerre » dans son genre. Il a même défini le concept du « roman graphique » tel qu’on le connait aujourd’hui c’est-à-dire des histoires bd sérieuses et pas forcément chiantes. Alors oui, aujourd’hui c’est presque du petit lait mais à l’époque les comics et bd avaient une connotation infantile et ça faisait un peu rétrograde quand un adulte un poil sérieux en lisait une (pointage du doigt, bonnet d’âne, ricanement, plumes et goudron, etc.). Bref, un auteur des plus célèbres outre-Atlantique à tel point que l’Oscar de la bande dessinée porte son nom.On ne va pas se repasser tout son curriculum en vue mais si l’on doit retenir quelques œuvres notables du gaillard, je ne citerais que The Spirit, A contract with God, Fagin le Juif, The building et j’en passe.The Building va nous téléporter à une époque où la longueur des jupes commençait à rétrécir et les pantalons à pinces étaient toujours à la mode ; nous voilà en plein sixties ! Quatre personnages complètement atypiques vont nous faire découvrir la vie d’un immeuble new-yorkais : un violoncelliste passionné, une femme infidèle éprise d’un poète, un homme aigri par l’argent ainsi qu’une personne ayant eu un traumatisme et qui s’est donné pour mission d’aider les enfants, voilà pour nos guides attitrés. Tous vont partager une histoire, leurs histoires ; parfois triste, mélancolique et avec des sursauts de joies ayant pour lieu commun : l’immeuble (The Building en VO) ; cet immeuble qui est justement l’élément central, et qui sera le témoin de cette tranche de vie, du temps qui passe et des liens entre les hommes. Un immeuble peut-il avoir une âme ?Vous l’aurez compris, ici on ne cogne pas, pas de communistes en mal de destructions massives ni de terroristes palestino-indiens, et encore moins de tripes virevoltantes ne vous laissant pas le temps de faire marcher vos neurones. Au contraire, décapsulez une boisson gazeuse, respirez un bon coup et mettez-vous plutôt à l’aise sous la couette.Visuellement c’est beau, sobre, agréable à lire et est un vrai plaisir à regarder avec sa mise en page hors-norme remplie d’audace graphique et au dessin épuré ; chaque planche est émouvante et emplie d’émotions et vous plongera dans le gris de l’existence comme un bon coup de pelle projetant du mortier dans les dents (désolé, c’est mon côté maçon qui ressort). Mitonné de second degré et d’un double niveau de lecture, vous verrez au fil de la lecture les cases s’effacer pour donner vie à cette histoire au thème humaniste et qui étudie le comportement humain et social sans pour autant porter un quelconque jugement, ni être moralisateur.Non content d’être un excellent album se suffisant à lui-même, celui-ci fait partie d’une trilogie (The building est en fait le tome 2), et est composé de 80 pages nous montrant un instantané de la vie raconté avec une finesse poétique assez rare, à tel point qu’on le termine sans s’en apercevoir. Bref, c’est une lecture un poil étrange, qui sort des sentiers battus et qui est rafraichissante.Au final, voici une œuvre intemporelle, originale et même novatrice vis-à-vis de tout ce qui sort actuellement et qui se résume trop souvent à un gros méchant, un complot et des boy-scouts qui sauvent la princesse à coup de semelle cloutée pointure 44. Alors, pardonnez mon hardiesse, somme toute pas subtile du tout, de vous suggérer la lecture de cette bd sous peine de passer à côté de quelque chose.Si vous aimez les bonnes et belles BD avec une histoire intelligente qui vous ouvrira l’esprit, celle-ci est clairement pour vous !
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