Moby Dick: Novel (English Edition) Download PDF
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Détails sur le produit
- Publié le: 2017-01-30
- Sorti le: 2017-01-30
- Format: Ebook Kindle
Description du produit
Moby-Dick is generally regarded as its author's masterpiece and one of the greatest American novels. The basic plot of Moby-Dick is simple. The narrator (who asks to be called "Ishmael") tells of the last voyage of the ship Pequod out of New Bedford, Mass. Captain Ahab is obsessed with the pursuit of the white whale Moby-Dick, which finally kills him. On that level, the work is an intense, superbly authentic narrative. Its theme and central figure, however, are reminiscent of Job in his search for justice and of Oedipus in his search for truth. The novel's richly symbolic language and tragic hero are indicative of Melville's deeper concerns: the equivocal defeats and triumphs of the human spirit and its fusion of creative and murderous urges.
Commentaires clients
Commentaires clients les plus utiles
9 internautes sur 9 ont trouvé ce commentaire utile.
Attention il s'agit d'une version abrégée
Par ROLLAND FLORIAN
J'achetais le produit pensant obtenir la version intégrale mais non, il s'agit d'une version abrégée ! Attention à ne pas vous tromper sur la marchandise !
24 internautes sur 27 ont trouvé ce commentaire utile.
Un double monstre : monstre littéraire et talent monstre
Par Nastasia B
Herman Melville prend d'emblée un parti osé : écrire une sorte de monographie romanesque sur la baleine et la chasse qui lui est faite au milieu du XIXème siècle.Choix doublement hasardeux d'une part parce qu'à l'époque la connaissance des cétacés n'est pas mirobolante et d'autre part, parce que le sujet de la chasse à la baleine n'est ni très fédérateur ni très palpitant, a priori. Comme quoi, l'auteur démontre qu'on peut faire un véritable chef-d'œuvre avec n'importe quoi, qu'il n'y a pas de mauvais sujet ou de petites portes d'entrée pour faire un grand roman, qu'il suffit d'un grand talent, et ça, Melville en a à revendre.Il aborde, à travers le prisme de la baleine, l'univers dans son entier, où j'ai remarqué, pêle-mêle : l'économie, le consumérisme, l'écologie, les relations raciales entre les hommes, le système social d'un microcosme, les valeurs humaines, les passions, les mythes et les religions, l'histoire, la philosophie, le développement technique, la compétition athlétique, la législation, la solidarité, la folie, bref, le monde, à l'image de ses interminables océans où se meuvent nos augustes mammifères marins.Quelle étrange activité tout de même quand on y songe ; il s'agit d'un bateau de pêche, mais à la vérité, on y chasse. On y chasse quoi ? Le plus grand prédateur carnivore du monde, le grand cachalot aux terribles mâchoires. On le chasse comment ? À l'arme blanche (sachant qu'à l'époque, les chasseurs utilisaient déjà le fusil pour pratiquement tous les autres types de chasse). On le chasse où ? Sur la Terre entière et son vaste océan, autant dire une goutte d'eau dans une piscine. Dans quelle zone ? Dans la mince et improbable zone de contact entre ce géant des profondeurs aqueuses et ce frileux minuscule primate aérien. Avouez qu'il y a de quoi s'arrêter sur une activité aussi singulière.Nous suivons donc le brave Ishmaël, en rupture avec le monde citadin de New York, qui s'embarque à la fois pour oublier, se sentir vivre, donner un sens à sa vie, et aussi se faire des petites montées d'adrénaline au passage. Une manière de Kerouac avant l'heure en quelque sorte.Notre matelot par intérim, rencontre à Nantucket — le grand port baleinier de la côte est — un harponneur coupeur de tête, Queequeg, qui deviendra un ami indéfectible. Les deux gaillards s'embarquent sur le Péquod, un baleinier de réputation acceptable, à la tête duquel officie un obscur capitaine qui sème le froid dans le dos, avec son regard farouche et sa jambe de bois, ou, plus précisément, avec sa jambe d'ivoire taillée dans une mâchoire de cachalot.On découvre vite que ce vieux fou de capitaine se contrefiche que des gars, voire un équipage complet risque sa peau, pour peu que lui, Achab, puisse assouvir sa vengeance envers celui qui lui a retaillé les mollets, à savoir, Monsieur Moby Dick en personne, un cachalot étonnamment blanc, doué d'un caractère assez vicieux (du point de vue de l'humain) pour qui essaie de lui planter un harpon dans la carcasse.Vous avez compris que Melville fait de ce roman bien plus qu'un basique roman d'aventures, que de bout en bout, il lui donne une consonance biblique et que le nom d'Achab n'est pas choisi au hasard et qu'il fait visiblement référence au Livre des Rois de l'Ancien Testament où Achab, un roi d'Israël, estimait ne rien posséder tant qu'il n'aurait pu mettre la main aussi sur la vigne de Naboth. On peut en dire autant de beaucoup des noms utilisés dans le roman et qui renvoient quasiment tous à des passages de la Bible.Le personnage du capitaine Achab est donc particulièrement intéressant, avec sa manie qui tourne à la folie de vouloir à tout prix la dernière parcelle de l'océan qui lui résiste, sa science et son caractère taciturne qui le rendent comparable au Capitaine Nemo de Jules Verne, mais je sens qu'il est grand temps de ne pas vous en dire plus si je ne veux pas déflorer davantage le nœud de l'intrigue pour celles et ceux qui auraient encore le bonheur de ne pas connaître la substance de cet immense monument de la littérature mondiale, père de tout un courant de la littérature américaine, en passant du Vieil Homme Et La Mer au célèbre Sur La Route.Qu'est-ce qu'Herman Melville cherche à nous dire avec l'essence de ce livre ? On pourrait hasarder des milliers d'interprétations car, dans cette œuvre, tout est parabole, tout est symbole, tout est à interpréter. Selon notre propre jus culturel on y lira des choses résolument différentes. Je me bornerai donc à n'en livrer qu'une seule, celle de l'homme qui essaie de maîtriser, contrôler, juguler la nature, la fantastique et surpuissante nature qui, quand il se sent trop fort, trop sûr de lui, lui rappelle qu'il n'est qu'un homme, un tout petit homme, et qu'Elle est grande, qu'Elle est éternelle tandis que lui est dérisoire, horriblement mortel et risiblement fragile. Le cachalot géant l'a rappelé au capitaine Achab et le monde nous le rappelle à nous périodiquement, avec un tsunami, une sécheresse, un tremblement de terre, un glissement de terrain, que sais-je encore, un avion qui s'abîme en mer, tellement petit, tellement frêle dans cet océan qu'on n'arrive même pas à en retrouver la moindre miette...Mais tout ceci, bien évidemment, n'est que mon tout petit avis planctonique qui évolue gauchement au milieu de l'océan de ceux qui l'ont dit et pensé mieux que moi, autant dire, une larve de krill, presque rien. J'en terminerai en vous offrant quelques menus passages qui vous éclaireront peut-être sur la finesse littéraire de l'auteur:"Malgré ses tatouages, c'était un cannibale somme toute propre et appétissant.""Car dans ce bas monde, camarades de mer, le péché qui paie sa place peut voyager librement et sans passeport, tandis que la vertu pauvre se voit arrêtée, elle, à toutes les frontières.""Pour si grande que soit la supériorité intellectuelle d'un homme, il ne peut pratiquement et durablement dominer d'autres hommes sans jouer une sorte de comédie toujours un peu vile.""Mais il ne pouvait être question de pitié ici. Malgré sa vieillesse, son unique nageoire et ses yeux aveugles, la baleine était vouée à la mort par assassinat, afin de donner de la clarté aux joyeux mariages et autres festins de l'homme, et aussi à illuminer les solennelles églises dans lesquelles il est prêché que tous doivent être absolument inoffensifs envers tous.""Par ces paroles, Stubb, sans doute, suggérait indirectement que l'homme a beau aimer son semblable, néanmoins l'homme est un animal fait pour gagner de l'argent et que ce dernier penchant peut souvent empêcher sa bonté naturelle."
21 internautes sur 25 ont trouvé ce commentaire utile.
Vaste comme un océan, puissant comme une lame de fond
Par Zarak
Il n'est jamais trop tard pour découvrir un classique universel. Mais une question demeure pour Moby Dick : combien y'a-t-il de livres dans ce bijou ? Qui me répond "un" l'a visiblement mal lu : récit d'aventures, drame shakespearien, fulgurances philosophiques et métaphysiques, leçon d'écriture, encyclopédie de la mer, encyclopédie de la baleine blanche - autant de livres en un seul.Le livre s'ouvre sur le plus bel éloge de l'eau qui ait jamais été écrit et se termine sur une scène qui n'a rien à envier à l'Apocalypse. Entre temps, nous naviguons sur un baleinier rempli de fous géniaux, et c'est peu dire que nous avons bien du mal à rejoindre la terre ferme.
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